Anonyma liturgica, Pentekostarion

Valayer: "A partir du dimanche des Saintes Myrophores (p; 82 à 136), l'analyse aurait pu ne suivre que l'évangile du jour: LC 24, 01 T12 (cf. page 474 du livre). Cependant, le ou les compositeurs de l'office ont souvent emprunté aux synoptiques... un mot, un détail... d'où un enchevêtrement... et par suite, multiplication des références en synopse ! Ajouter qu'il faut répéter ces mêmes références pour les attribuer à leurs auteurs respectifs: "citants-cités" car chacun a traité la même matière biblique, mais à sa façon! D'où les congères de références! et un hérissement de points d'interrogation!? et au cours de ces milliers de références, combien de bévues au compte du malheureux analyste solitaire et obstiné! N.B. la numérotation des lignes tient compte des lignes en rubrique, à l'exclusion des lignes en majuscules.

A des offices différents reviennent souvent les mêmes textes, les mêmes allusions, les mêmes citations, les mêmes synonymes: identité littérale absolue, par exemple les katabasia pp. 314 à 359 et encore pp. 420-429 - et combien de versets de Ps au cours d'un même office - ces "reprises" ne présentent aucun intérêt quant au texte biblique ni quant à une quelconque signification théologique... à se demander quel profit le Centre pourra en retirer?" (Le Rieu, à Tulette).